Je me suis souvent demandée

Je me suis souvent demandée si à vous montrer la noirceur des autres je ne me brulais pas les ailes, si je me montrais pas à vous avec un machiavélisme des plus sordides, si finalement je ne leur ressemblais pas. J’étais en train de tourner cela dans ma tête quand là ou je me rends désormais j’ai rencontré un homme, oui un érudit des chiffres pas le mathématicien non, lui j’en reparlerais une autre fois mais un cartésien , oh oui, un de ceux qui aiment la physique, les chiffres , tout ce qui me fait courir loin d’eux, ceux dont j’évite le contact, sûrement dû à une peur de mon adolescence, ou à mes rencontres avec les profs de mes enfants. Je ne m’étendrais pas sur ces profs là, ni sur mon cartésien, quoique il apprécierait peut être, mais je ne suis pas la reine pour me coucher comme ça sur un homme, moi je préfère coucher les mots sur le papier, surtout si c’est pour vous permettre de les lire.

Donc j’ai rencontré chez nos amis les Maures, cet homme , je le connaissais pour l’avoir croisé en d’autres lieux plus sordides, il était comme moi personnage non gratta à la cour du roi. Cela aurai pu nous rapprocher et bien non cela nous avait diviser (quand on y pense le roi appliquait à la lettre cette devise, diviser pour mieux régner.)
En effet nous nous étions heurtés de plein fouet un soir puis deux, puis plusieurs, attisés par le roi qui tirait les ficelles. Dans cet univers malfaisant deux personnes d’envergure et n’ayant pas leurs mots dans leurs poches ne pouvaient que s' affronter. Bah chacun avait déversé sur l’autre sa rancœur puis un soir la petite goutte d’eau avait fait déborder le vase. Le roi était là et il devait ma foi en jouir car chacun sait qu’il aime cela les joutes.

Vous racontez ce qui s’est passé ne sert en rien ce que je vais vous dire après, au contraire cela serai même néfaste, puis le roi saurai tout et je préfère qu’il recherche les écrits de l’époque pour le savoir, et croyez moi que chez le petit roi bedonnant tout est répertorié et gardé sous le coude au cas ou il en est besoin et aussi pour exercer des pressions sur les personnes.

Même quand vous allez dans le confessionnal il savait ce que vous disiez à votre vis-à-vis, je l’ai découvert bien trop tôt à son gout. Mais là n’est pas le but de mes écrits de ce jour.

L’histoire entre le cartésien et la littéraire aurai pu ne jamais aller plus loin si le roi, et oui encore lui, ne nous avait pas bouté hors de ces murs. Comme chacun sait c’est dans l’adversité que l’on rebondit encore plus. Donc nous nous sommes perdu de vue et par un hasard des plus hasardeux nous nous sommes retrouvés là bas très loin au pays des Maures.

Nos premiers échanges furent timide, puis s’enhardissant j’osais lui dire bonjour, lui ne fut pas dupe de mon approche il me dit on s’est déjà rencontré et nous nous aimions guère ou on en reste là ou..J’ai bondi aussitôt , non pas telle une tigresse se jetant sur sa proie mais comme un être humain doué de raison ce qui manque de nos jours à beaucoup de personnes.
Voici les propos que je lui ai tenu je vous les offre à vos yeux aujourd’hui. Mon cher Prof si en d’autres lieux nous nous sommes heurtés je pense que nous sommes assez intelligents tous les deux pour passer au dessus de cela et nous allons pouvoir respectueusement faire connaissance.

Et bien à ce jour nous discutons chaque soir et nous sommes deux complices, chacun sait rebondir sur tel ou tel mot de l’autre et nous nous livrons des batailles de rire. Ce mot qui en la cour du petit bedonnant était impossible à prononcer.

Ma conclusion dans cette histoire est la suivante, lorsque vous vous trouvez avec des gens qui n’ont que le mot haine à la bouche cela vous contamine et vous incite à être mauvais, merci O MON ROI ET VOUS MA REINE de m’avoir empêcher de devenir comme vous. Au moins pour une fois je vous décerne la palme de la connerie suprême car pourquoi ne pas vouloir changer, regardez comme vous êtes et imaginez seulement comment nous aurions pu être tous ensemble si votre parano n’avait pas pris le pas sur votre mégalomanie , car finalement vous êtes abjectes et je ne vois rien en vous de bon dans ce monde virtuel. J’arrive même pas à vous trouvez des circonstances atténuantes. Donc nous vous laissons pour ce que vous êtes c’est-à-dire rien..Rien , je cherche mais ça ne fait pas grand-chose sur une table, rien mais ça ne fait pas grand-chose dans le monde, le néant, le vide. Rien vous n’’êtes rien que deux petits êtres insignifiant. Quand nous pensons à vous nous en rions toujours avec de gros éclats de rire…………………………….

Avant de conclure je me dois de reprendre chacun des personnages de ce livre et de dire un mot sur chacun d'entre eux, un mot spécial......

Selon que cous soyez bon ou méprisables vous aurez droit à ma considération ou à mes coups de bâtons.....