Opération velouté contre soupe à la grimace
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Opération velouté contre soupe à la grimace
De deux choses l’une ou vous aimez boire ce breuvage âcre, qui vous colle les lèvres et vous empêchent de sourire ou vos papilles aiment déguster ce velouté délicieux. Je vais donc vous invitez à regarder à la loupe ce qui se passe dans la marmite de la soupe à la grimace…..
Le petit roi, car il s’agit bien de lui et de sa cour que j’ai changé en marmite qui bouillonne à tout moment avec le risque d’exploser à tout jamais si le roi se comporte toujours en despote totalitaire….Donc le petit roi est parti en guerre contre tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un château, mais de château il y a que dans son imagination, car les pauvres gueux qui se trainent encore chez lui s’accrochent désespérément à ce qui ressemble à des queues de poireaux, mazette faut bien du poireau pour mettre dans la soupe…..
Il a été aperçu au restau du coin là ou la chorba se fait avec du blé concassé, du reste il s’est cassé les dents sur le chef cuisinier qui a vu d’un mauvais œil son intrusion en sa demeure. Il essaye de dévergonder quelques femmes pour les amener manger sa soupe à la grimace, qui comme chacun sait est imbuvable.
Il fait le bellâtre et joue de sa superbe, il croise même des anciennes manantes qui ne sont venu chez lui que pour jouer de leurs atours et ne se sont jamais fixés à sa cour, elles sont ailleurs et ont beau lui conter je ne sais quelles idioties, jamais elles ne viendront grossir la troupe qui part en désordre.
Surtout que depuis quelques jours il a réarmé sa culasse pour tirer à bout portant contre tout ce qui bouge et ne dit pas comme lui, aidé en cela par cette marâtre qui se dit maitresse femme et qui n’es qu’une maquerelle en mal de mâles. Elle entraîne dans son sillage une jeune dévergondée qui la suit comme un petit toutou en montrant ses petons après avoir montré ses tétons à qui voulaient les voir….
Et tout ce petit monde s’agite dans le bocal qui leur sert de soupière. Il a beau user de son savoir faire sans mouiller sa chemise et en envoyant en ligne de mire ses sujets devenus des objets, tout le monde sait que c’est lui qui derrière tire les ficelles. Il n’a même pas osé rencontrer son fils aîné préférant écouter sa favorite qui l’en a dissuadé prétextant que ce ne pouvait être lui….Vous voyez ou la parano les atteint.
Quand aux anciens manants qui sont chassés de son royaume ils ont déjà retrouvé une humble demeure ou le potage fleure bon les petits légumes rissolés et la joie de vivre. A force de chasser les amis d’hier devenus des ennemis, demain il comptera les assiettes vides car nul ne voudra revenir à sa table.
Mon cher roi tu ne feras plus ripailles sur notre dos , car nous avons coupé le fil (de haricots) et si nous revenons à ta cour c’est juste pour ouvrir les yeux de quelques brebis égarés que tu veux sûrement manger en méchoui…
Quand au menu fretin nous te le laissons bien volontiers nous ne voulons pas nous encombrer de la racaille , nous savons tous que l’orange pourrie contamine les beaux fruits.
Surtout que chez toi tu ne vois que ce que nous voulons bien te montrer, vu que tu parles à ton ennemi croyant que c’est une de tes amies…Mon anonymat est garanti par des manants qui sont des princes.
Et, pour l’instant je sers d’appât et j’adore mon rôle qui me permet de dire que votre grimace est à la hauteur du mépris que j’ai pour vous….
Le petit roi, car il s’agit bien de lui et de sa cour que j’ai changé en marmite qui bouillonne à tout moment avec le risque d’exploser à tout jamais si le roi se comporte toujours en despote totalitaire….Donc le petit roi est parti en guerre contre tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un château, mais de château il y a que dans son imagination, car les pauvres gueux qui se trainent encore chez lui s’accrochent désespérément à ce qui ressemble à des queues de poireaux, mazette faut bien du poireau pour mettre dans la soupe…..
Il a été aperçu au restau du coin là ou la chorba se fait avec du blé concassé, du reste il s’est cassé les dents sur le chef cuisinier qui a vu d’un mauvais œil son intrusion en sa demeure. Il essaye de dévergonder quelques femmes pour les amener manger sa soupe à la grimace, qui comme chacun sait est imbuvable.
Il fait le bellâtre et joue de sa superbe, il croise même des anciennes manantes qui ne sont venu chez lui que pour jouer de leurs atours et ne se sont jamais fixés à sa cour, elles sont ailleurs et ont beau lui conter je ne sais quelles idioties, jamais elles ne viendront grossir la troupe qui part en désordre.
Surtout que depuis quelques jours il a réarmé sa culasse pour tirer à bout portant contre tout ce qui bouge et ne dit pas comme lui, aidé en cela par cette marâtre qui se dit maitresse femme et qui n’es qu’une maquerelle en mal de mâles. Elle entraîne dans son sillage une jeune dévergondée qui la suit comme un petit toutou en montrant ses petons après avoir montré ses tétons à qui voulaient les voir….
Et tout ce petit monde s’agite dans le bocal qui leur sert de soupière. Il a beau user de son savoir faire sans mouiller sa chemise et en envoyant en ligne de mire ses sujets devenus des objets, tout le monde sait que c’est lui qui derrière tire les ficelles. Il n’a même pas osé rencontrer son fils aîné préférant écouter sa favorite qui l’en a dissuadé prétextant que ce ne pouvait être lui….Vous voyez ou la parano les atteint.
Quand aux anciens manants qui sont chassés de son royaume ils ont déjà retrouvé une humble demeure ou le potage fleure bon les petits légumes rissolés et la joie de vivre. A force de chasser les amis d’hier devenus des ennemis, demain il comptera les assiettes vides car nul ne voudra revenir à sa table.
Mon cher roi tu ne feras plus ripailles sur notre dos , car nous avons coupé le fil (de haricots) et si nous revenons à ta cour c’est juste pour ouvrir les yeux de quelques brebis égarés que tu veux sûrement manger en méchoui…
Quand au menu fretin nous te le laissons bien volontiers nous ne voulons pas nous encombrer de la racaille , nous savons tous que l’orange pourrie contamine les beaux fruits.
Surtout que chez toi tu ne vois que ce que nous voulons bien te montrer, vu que tu parles à ton ennemi croyant que c’est une de tes amies…Mon anonymat est garanti par des manants qui sont des princes.
Et, pour l’instant je sers d’appât et j’adore mon rôle qui me permet de dire que votre grimace est à la hauteur du mépris que j’ai pour vous….
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